Itinéraire migratoire d’un jeune percnoptère
En juillet 2020, Pantxoa, jeune Vautour percnoptère du Pays Basque, a été équipé au nid d’une balise GPS. Il s’est envolé pour la première fois de son aire le 23 août 2020. Le 2 septembre, il entamait son voyage migratoire. Nous nous avons pu suivre virtuellement sa traversée de la Méditerranée.
Des nouvelles du suivi télémétrique des vautours percnoptères
Ce projet est conduit depuis 2018 par SAIAK dans le cadre des programmes de suivis scientifiques et du Plan national d’actions Vautour percnoptère. Il a permis d’équiper de balises GPS deux vautours percnoptères juvéniles de Basse-Navarre, au mois de juillet 2019.
SAIAK contribue à l’étude et à la conservation du Vautour percnoptère au Cap Vert
Saiak est en contact avec l’association Bios CV sur l’île de Boa Vista et a fourni des jumelles et des chaussures de randonnée pour permettre à ses membres de meilleures conditions d’observation des vautours percnoptères.
Une étude sur l’Aigle royal en Éthiopie soutenue par SAIAK
SAIAK a soutenu les missions d’Adam Wentworth dans les Monts Balé pour le suivi de la seule population relique d’Aigle royal connue en Afrique et l’étude des mesures de conservation indispensables à sa sauvegarde.
Le Hibou grand-duc dans les Pyrénées Occidentales
Un article commun GOPA/Saiak (Luc Cantegrel-Gassiot, Alain Pagoaga, Dominique et Claudine Raguet & Linda Rieu) sur les connaissances et le statut du Hibou grand-duc dans les Pyrénées Occidentales a été publié dans la revue “Le casseur d’os”. Une mine d’infos sur l’espèce à télécharger en ligne.
Un Milan royal abattu dans les Hautes-Pyrénées : acte isolé ?
Le 31 octobre 2014, un Milan royal a été abattu sur la commune de Saint Créac (Hautes-Pyrénées). Le chasseur responsable de cet acte illégal a aussitôt été interpellé par les agents de l’ONCFS qui étaient présents sur les lieux. Ils lui ont retiré son permis. Saiak exprime son inquiétude quant à l’incapacité des pouvoirs publics à stopper ces actes malveillants, qui sont bien identifiés comme la première cause de mortalité de l’espèce dans les Pyrénées